Créateur

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Les facteurs de réussite

            Selon l’APCE (l’agence pour la création d’entreprises), l’accompagnement par un expert est un élément clé de la pérennité d’une entreprise en phase de création).

Une entreprise sur trois cesse son activité dans un délai de trois ans après sa création, et seulement une entreprise sur deux dépasse les cinq ans d’activité.
Le secteur d’activité est le premier facteur qui influence la pérennité des entreprises, le taux varie suivant les activités (59 % dans le commerce et 87 % dans la santé).
Le deuxième critère est l’expérience du nouveau dirigeant dans son métier et dans l’entreprenariat.
De même, l’ambition du projet et son financement sont directement liés à sa réussite. Plus les capitaux investis sont importants, plus la pérennité est élevée.
Le dernier critère pouvant favoriser la survie de votre entreprise est le conseil d’un spécialiste. En effet, les dirigeants qui ont été accompagnés par un expert pour la création de leur entreprise enregistrent un taux de pérennité à trois ans de 72 %.
salle de formation

Les étapes de la création d’entreprise

Vous êtes porteur d’une idée, d’un projet de création qui va vous engager pendant un certain temps. Il est essentiel d’élaborer un dossier de création qui soit le plus clair et le plus sécurisant possible. Ce dossier sera également un argument vital dans votre recherche de financement. Pour cela, il est nécessaire de suivre des différentes étapes de la création d’entreprise.
L’idée
Le projet personnel
L’étude de marché
Les prévisions financières
Le financement
Les aides
Le statut juridique
Les formalités
L’installation
Les premiers mois

Le régime de l’auto-entrepreneur

Le régime auto-entrepreneur est une simplification des formalités administratives et un allègement des charges sociales, fiscales et administratives. Il se traduit par :

Une déclaration et un paiement simplifié des cotisations et contributions sociales (le régime microsocial simplifié),
+ une déclaration et un paiement simplifié de l’impôt sur le revenu (versement libératoire de l’impôt sur le revenu), sur option et sous certaines conditions,
+ une exonération de la cotisation foncière des entreprises l’année de la création et les deux années suivantes,
+ pour les créateurs d’entreprise artisans et commerçants, la dispense d’immatriculation au registre du commerce et des sociétés et dans certains cas au répertoire des métiers, s’ils le souhaitent.

Toutefois, pour exercer une activité artisanale à titre principal, l’immatriculation au répertoire des métiers (RM) est obligatoire et, le cas échéant, l’auto-entrepreneur doit également attester d’une qualification professionnelle.

Un auto-entrepreneur peut bénéficier du statut de l’EIRL. En affectant à son activité professionnelle un patrimoine spécifique, il protège son patrimoine personnel